« Je suis pour la peine de mort avec sursis. » Pierre Dac

Victor Hugo n'apprécierait sans doute pas le mot de Pierre Dac: c'est que la peine de mort n'est pas matière à plaisanter. Néanmoins l'inflexion de la peine apportée par le "sursis", est précisément le type fondement sur lequel Hugo s'appuie pour débuter son argumentation : faite pour montrer l'exemple, la peine de mort est en son temps cachée aux yeux du public. Quel exemple peut-elle encore montrer ? Elle n'a, pour Hugo, plus aucune légitimité, et elle est un frein à la lutte contre l'ignorance et la misère. Venez découvrir pourquoi, par l'oreille, sur Qui Dixit !